L’optimisation fiscale par un avocat d’affaires, comment proceder ?

L’optimisation fiscale est une étape incontournable dans le développement de l’entreprise. En effet, la démarche permet à l’entreprise d’être plus compétitive et plus performante, tout en réduisant ses charges fiscales. Pour procéder, les services d’un avocat d’affaire s’avèrent indispensables.

Pourquoi recourir à un avocat d’affaire ?

Pour une entreprise, l’optimisation fiscale est indispensable afin d’être plus compétitif et plus performant dans un environnement économique fortuit. Il s’agit également d’une démarche incontournable consistant à réduire, voire supprimer les impôts et taxes. Pour procéder à l’optimisation fiscale, faire appel à un professionnel compétent dans le domaine fiscal est un passage obligé, voilà pourquoi les entreprises font appel à des avocats d’affaires. A partir d’un audit fiscal établi en amont, l’avocat d’affaires sur Paris avec JDB va chercher des solutions adaptées à la situation économique de l’entreprise.

La marche à suivre

Ce qu’il faut savoir dans une démarche d’optimalisation fiscale, c’est avant tout de réduire au maximum les risques fiscaux pouvant se présenter. L’avocat d’affaires sera donc en charge d’orienter les décisions de l’entreprise vers une fiscalité plus favorable. Vue la complexité et le caractère évolutif de la fiscalité, l’avocat vise à analyser et anticiper la portées des textes afin de définir la stratégie la plus adaptée à l’entreprise dans l’entière respect de la Loi fiscale.

Les objectifs escomptés

L’avocat d’affaires accompagne donc l’entreprise du début à la fin de la procédure d’optimisation fiscal. L’objectif premier de cette démarche est de préserver les intérêts de l’entreprise, notamment sa situation financière. En principe, l’avocat d’affaires intervient dans le cadre d’une cession ou d’une transmission d’entreprise, de ventes ou d’acquisitions d’immeubles, de transferts de droits sociaux et toutes autres opérations juridiques en vue d’amoindrir les impositions au titre de la TVA, Impôt sur les sociétés, Impôt sur le revenu ainsi que les droits d’enregistrement. Il en résulte souvent une fiscalisation modérée, voire une défiscalisation.

Partager